30 juin 2008
Un monde d'évolution
Feu le vieux béton… Tombez, les pierres ! Au revoir, la mémoire… Lieux abandonnés… Habitants arrachés… La ville change de visage.
Le veut-elle ? La ville ne s’appartient pas, elle est pour les êtres vivants. Elle naît sans le vouloir, elle vit sans agir, elle meurt parce qu’il faut avancer. La ville change de corps.
Fini le vert, fini le bleu… Vive le gris et le crépi. La ville change d’idée.
Pourquoi ? Pourquoi pas? … L’homme assure son pas.
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